dimanche 26 mai 2013

Nom de Zeus!

Enfin me revoilà  Je n'ai manqué a personne, ça je le sais, mais je me console dans la boisson donc c'est pas grave...(ou ai-je mis mon OrangIceCola moi?) Bref et bien ce sera un poème en prose car ça fait un moment.
Maintenant les liens visités seront roses pour le non confort de votre système rétinien.
Voilà voilà. Je vous invite aussi à me suivre sur twitter si vous avez envie de me voir écrire de la merde ou des choses absurdes...ou les deux! (il est en haut à gauche)
Ah et si vous cherchez un rapport avec le titre et bin ce n'était qu'un calembour.
Bref.
Il fallait bien un début et bien en voilà la fin.
Cacahuète \o/!

vendredi 28 décembre 2012

Hohoho joyeux noël!

Mais qu'est ce? Ce n'est pas un poème...ni un dessin...c'est un mono mp3!
Un quoi?! Un mono mp3. C'est une petite histoire audio qui est composé d'un épisode. Ce n'est pas vraiment mon premier travail mp3 même ci c'est mon plus long et ce ne serra pas le dernier.
(cette image n'est pas une de mes création)



 Bref.
 Il fallait bien un début et bien en voilà la fin.
Cacahuète \o/!

dimanche 30 septembre 2012

MWOAHAHAHAHAHA

Je vous promets que les prochaines sorties seront en tous points Co-Ca-Tiques! D'une drolasserie absolue pour vous que se soit pour les petits ou pour les grands... Je pense que je ne me rends pas encore compte d'en quoi je m'engage là... Bonne lecture


Bref.
Il fallait bien un début et bien en voilà la fin.
Cacahuète \o/!

samedi 15 septembre 2012

pixilisage

Oh la magnifique cacatastrophe que voila! je remercie kyoko de m'avoir lancé le défi de faire un paysage en pixel art et Toxic qui ma aidé a corriger mon pixel art (pour voir le blog de cette incroyable margoulin de gobelin cliquer sur ce lien: http://toxic-area.blogspot.fr/)
Et voici le dit pixel art!

Bon ce n'est pas de incroyable mais bon a mon niveau ça reste très bon (et oui je suis si mauvais que ça)
La prochaine fois ça sera un poème!


Bref.
Il fallait bien un début et bien en voilà la fin.
Cacahuète \o/!

mercredi 5 septembre 2012

Il était une nouvelle.



Voilà une nouvelle réalisée dans la nuit du samedi 1er septembre entre 2 et 6 heures du matin.
/!\ Attention cette histoire n'a pas un but comique, il se peut qu'elle choque certaines personnes entre 2 et 8 ans. En même temps il y a très peu de chance qu'un enfant entre 2 et 8 ans capable de lire suive ce blog...

Aujo un clown, un homme.

Les douze coups sonnent dans le petit village de Canigranle. Aujo ne dort pas, les yeux rivés sur le plafond de sa caravane. Les événements de la journée l’ont troublé. Il était triste depuis que le cirque avait dressé le chapiteau sur la place ridiculement grande du petit village de Canigranle. Une église, une supérette, une école et plus ou moins 2000 habitants, bref un village perdu au milieu des montagnes du massif central. «Le grand cirque du grain de sable» avait décidé de faire une dizaine de représentations pour la modique somme de dix euros la place. Aujo étouffait dans sont ''abri'' de plastique et de métal. Alors il se leva et ouvrit une fenêtre. L’air froid et humide de l’extérieur s’engouffra dans sa caravane et y chassa l’odeur de transpiration et de moisissure. Il regarda par l’ouverture de sa boîte de conserve et resta passif un petit moment devant le paysage qu'elle lui offrait. Une vue plongeante sur une forêt de densité moyenne tachée ça et là par quelques vieilles habitations de pierre qui avaient pour la plupart le double de l’âge  d’Aujo. Une rivière venait séparer ce paysage en deux de telle manière que l’on aurait pu penser que de l’autre côté se trouve un pays différent.
Aujo prit une grande goulée d’air puis il soupira en guise de réponse à cette nature qui le narguait.

Il n’avait même pas relevé le fait que la lune brillait bien plus que d’habitude, pas que la lune soit un sujet préoccupant pour notre ami mais, quelque part dans les Pyrénées, un petit garçon fit le constat évoqué. Aujo partit s'asseoir devant sa maquilleuse et jeta un regard sur l’image qui n’est autre que les rayons lumineux qui, âpres avoir rebondit sur sa figure, rebondirent sur la surface lisse du miroir avant d’être captés par son œil. D’ailleurs son œil gauche était encore gonflé et il avait pris une teinte violacée. Apparemment les gens de ce village n’aiment pas les clowns. Ce que notre ami ignorait, c’est qu’il y a de ça dix ans jour pour jour, un cirque s’était installé dans ce village et avait organisé plusieurs cambriolages, bien évidement c’était le clown qui était de corvée car bon nombre des Hommes ont la phobie des clowns. En tout cas les jeunes qui avaient violenté notre ami n’avaient pas peur de ces personnages à la peau claire et au nez pourpre.

Il aurait pu être trapéziste ou même dresseur de fauve, voire Acrobate. Il aurait pu être homme canon, jongleur, cracheur de feu. En réalité il savait réaliser tous les numéros de chaque artiste présent sous le chapiteau. Mais personne ne savait ne pas faire, voila pourquoi il était clown. Personne n’était assez doué pour se faire agresser par un fauve sans se faire blesser, ou encore, faire une chute de cinq mètres sans rien se fracturer. Il était trop doué pour faire ce qu’il voulait. Bien évidement le métier de clown est un métier ingrat et aucune personne normalement constituée n’accepterait une telle humiliation. Personne ne voudrait sortir avec un clown par exemple. Pourtant Aujo était très beau garçon. Musclé, un mètre quatre-vingt, un visage aigu et fin, des yeux verts et des cheveux coupés courts de couleur noire.

Au début il avait refusé ce job. Puis il avait vu un enfant pleurer devant le stand de tir à la carabine. Il avait alors réalisé quelques pitreries pour faire sourire l’enfant et, lorsque celui-ci oublia la raison de son chagrin pour se concentrer sur cet homme qui était définitivement tombé bien bas, il ne sût comment réagir si ce n’est par une quinte de rire violente. Aujo, lui, fut frappé par la beauté de la scène. Cet enfant qui n’avait pas plus de huit ans, les yeux rougis par les larmes, un morceau de tissu dans sa main gauche qui était elle-même ramenée sous son œil, la figure fendue par un énorme et attendrissant sourire. Notre clown, qui ne l’était pas encore à ce moment, décida de le devenir. Six ans plus tard il était là triste, assis devant sa maquilleuse, dans sa caravane miteuse, dans ce village ridiculement petit et inhospitalier. Les enfants ne rigolaient que rarement à ses pitreries qui régalaient plutôt les parents. Après tout ce n’est pas tous les jours que l’on peut voir la raison de nos plus grandes phobies se prendre une quille dans la figure alors que cette même raison fait du trapèze.

Des larmes embuèrent la vue d’Aujo, le clown repensa à Suzie. Ha oui, Suzie douce femme aux grands yeux curieux et bleus, à la chevelure de feu et à la peau de crème. Oui, Suzie était décidément le grand amour d’Aujo. Peut-être même se serait-elle intéressée à celui-ci s'il avait laissé Johny se noyer dans ce fleuve près des Pyrénées plutôt que de sauter à l’eau pour le repêcher. Maintenant Suzie s’était mariée avec Johny le trapéziste. Le clown dût même apporter les alliances. Décidément la vie s’est bien foutue de sa gueule.

Le voila maintenant calme, toujours assis devant sa coiffeuse, le canon de son magnum dans la bouche, l’index de sa main droite sur la gâchette prêt à appuyer. Ce qu’il fit. Au milieu de la nuit on entendit une grosse détonation. Un petit garçon cru qu’il s’agissait du tonnerre, mais finalement ce n’était rien de plus que notre ami Aujo le clown qui éparpillait sa cervelle dans sa prison: un morceau de ferraille à roulette qui le retenait prisonnier car elle était censée être sa maison. La bouche encore fumante, le pistolet par terre au milieu d’une large flaque de sang épais mêlé à quelques morceaux de cervelle ça et là. Plus personne n’oserait dire qu’il avait la tête creuse maintenant que son crâne était à moitié explosé, ouvert au monde, rempli d’air et d’autres choses vivantes, dans cette carcasse maintenant vide de vie.

Le plus drôle dans cette histoire c’est que les gens du cirque ont mis trois jours pour se rendre compte qu’il était mort. C’est d’ailleurs Suzie qui découvrit le cadavre. Imaginez le choc pour elle alors qu'elle allait proposer au clown triste de s’enfuir avec elle. Décidément la vie s'est bel et bien foutue de sa gueule.

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Et voilà! Bon, j'espère que ça vous a plus. N'hésitez pas à laisser un commentaire.

Bref.
Il fallait bien un début et bien en voilà la fin.
Cacahuète \o/!

En marche!


Et voilà un poème qui saura ravir l'amateur de littérature qui sommeille en vous... Bien que chez certains, il soit mort.
Bon, demain il y aura aussi du contenu et pas n'importe lequel vu qu'il s'agit de la première nouvelle du blog!
Haha! Une nouvelle nouvelle en perspective!


Bref.
Il fallait bien un début et bien en voilà la fin.
Cacahuète \o/!



mercredi 29 août 2012

un grand seigneur.

Le principe est simple, on me dit un mot et je fais un poème avec.... Bon et bien le voilà pour votre plus grand plaisir je veux bien sûr parler du...enfin...hum!

Bon c'est court mais bon je vous promet que d'habitude c'est plus long!
Bref.
Il fallait bien un début et bien en voilà la fin.
Cacahuète \o/!


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